J'ai ce souvenir d'un gâteau posé sur la table. Un gâteau maison en forme de coeur. Tout un symbole. D'amitié. D'amour. De sentiments très positifs, en tous cas, illuminant le cockpit de notre vaisseau improbable. Nous étions quatre bons copains autour de la table. L'espace était réduit, bien sûr, mais c'était le tien, tu nous as accueillis, dans ta générosité, on se serrait les mains et le coeur et on racontait des blagues. J'ai ouvert la fenêtre pour entendre les oiseaux. Nous avons mangé le gâteau. C'étaient des petits riens. Des petits riens du tout. Mais des petits riens qui ont compté beaucoup.
A Blutchy
Il a l'air tendre ce gâteau en forme de coeur! des petits riens qu'on met bout à bout, ça donne beaucoup.
RépondreSupprimerBise, rien qu'une bise!
Oui, il était bon. Il avait le goût des choses simples et miraculeuses par leur rareté...
Supprimer¸¸.•*¨*• ☆
Tout était en forme de coeur dans ce périple.
RépondreSupprimerTi bacio Cara
Il y avait ta magie propre, et je tenais à lui rendre hommage. tes exposés sur les ondes telluriques m'ont passionnée et j'ai appris tant de choses humaines et scientifiques dans ce voyage.
SupprimerTu es à tout jamais un enchanteur de vie, ceux dont je parle sur mon autre blog...
Ti voglio bene, mio amico, grazie per tutto
¸¸.•*¨*• ☆
Un des signes de l'amour authentique que l'on reçoit d'autrui, tient assez grandement à ces « petits riens », que l'on devrait plutôt appeler des « petits beaucoup ».
RépondreSupprimerOh comme c'est mignon, ces petits beaucoup...
SupprimerJ'adore !
¸¸.•*¨*• ☆
Ce gâteau m'a fait songer à la femme du boulanger, Raimu avait préparé pour fêter le retour de sa femme, un pain en forme de cœur également.
RépondreSupprimerAh tiens c'est vrai, j'avais oublié ce détail...
SupprimerBon là, c'est une amie de Vally qui avait confectionné le gâteau de l'amitié.
C'était pas pour fêter le retour de Pomponnette ^^
baci caro
¸¸.•*¨*• ☆
Délicieux, ce billet dédié aux petits riens, le souvenir d'une chanson que j'aime beaucoup, Soirées de princes, que tu dois connaître où "l'on n'avait pas peur d'être deux pour un oeuf". Bises et ATTB, Miss W.
RépondreSupprimerJe ne connaissais pas, mais elle est magnifique. Ce jean-Claude Pascal, quel charme !
SupprimerLe texte est très poétique, je ne résiste pas au plaisir de le retranscrire ici:
J'ai donné des soirées à étonner les princes
Dans cette chambre usée par trois siècles d'amour
J'ai dans l'oreille encore le vieux parquet qui grince
Et nos chansons d'ivrognes à la pointe du jour
J'ai donné des soirées à étonner les princes
Avec une poignée de copains troubadours
Ils arrivaient tout droit de leur vieille province
Leduc de Normandie et Dupont de Nemours
J'ai donné des soirées à étonner les princes
Les hommes les idées et les cœurs étaient neufs
Le buffet il est vrai était peut-être mince
Mais nous n'avions pas peur d'être deux pour un œuf
Les filles nous offraient leurs yeux comme une source
Où nous pouvions trouver les soirs de mauvais sort
Un courage nouveau pour reprendre la course
Et leurs cheveux dorés valaient mieux que de l'or
J'ai donné des soirées à étonner les princes
Dans cette chambre usée par trois siècles d'amour
J'ai dans l'oreille encore le vieux parquet qui grince
Et nos chansons d'ivrognes à la pointe du jour
Leduc est reparti vers sa ville normande
Lecomte de Châlons doit être pharmacien
Dupont près de Nemours compte ses dividendes
Et de ma vieille chambre il ne reste plus rien
Merci pour ce beau partage.
kiss and atttttttb
¸¸.•*¨*• ☆
super ! Il y a des moments comme ceux-là qui restent à jamais dans nos coeurs. Ces petits moments de bonheur que personne ne pourra nous enlever. Bises
RépondreSupprimerTu as bien fait de lire mes billets dans cet ordre là ! Tu finis sur une note optimiste...
Supprimer¸¸.•*¨*• ☆