En lisant le sujet du jour, j'ai repensé immédiatement à ce bonheur de porter un enfant. Une joie profonde. Celle de créer un être humain, dans la profondeur de soie, en laissant simplement les choses aller à leur rythme. En prenant soin de cette éclosion magique de la vie.
Je n'ai jamais eu peur de voir mon ventre se distendre et pourtant je vous assure que c'était impressionnant. Je n'ai jamais rien ressenti de négatif pendant ces périodes exceptionnelles de mon existence, qui restent gravées dans ma mémoire avec une acuité extraordinaire.
Mais moins drôle , il y a des gens au travail ou dans l'entourage, qu'il faut porter à bout de bras comme des boulets, et ça, c'est une véritable calamité...
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Ceux que l'on porte...
RépondreSupprimerLa grossesse c'est le beau côté des choses au vu des gosses qu'il faut porter à bout de bras pour cause de handicap ou d'inadaptation conséquente... Il y a aussi les vieux parents qui deviennent dépendants et ces cas n'ont soit pas de fin, ou alors elle est définitive. Ca laisse peu de place pour se ressourcer.
Ti bacio
Tu es très positif, ce soir, Blutchy amo...j'adore! je crois que je vais essayer le micro-ondes thermostat 12 pour en finir tout de suite, finalement :-)
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Disons que ça fait un certain nombre d'années que j'ai ce genre de fardeau sur les épaules, alors je trouve que Raymond aurait pu s'abstenir de proposer un thème pareil...
SupprimerBaci
Oui, bien sûr...Pardonne-moi, j''étais toute à mes souvenirs de maternité...
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Mais tu es toute excusée
Supprimermerci ^^
SupprimerC'est très touchant, ce que dit Blutch. Il semble avoir une belle carapace, mais son cœur est tendre comme celui d'un faon.
SupprimerBises à vous deux.
Oui, d'accord avec toi ^^
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Wouais, et même que maintenant, il est croisé avec un Comanche...
SupprimerBaci per tutti duo
Ah bon ? Quand est-ce que ça a comanché ?
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Ben T'Iroquois? C'est depuis qu'il a lu les commentaires ci-dessus...
SupprimerOui mais en bon Rital, normalement, Luigi Comanche il nie.
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La mère Courjault pratiquait la méthode "chaud froid" :
RépondreSupprimer9 mois au chaud... Le reste au congélo. ];-D
Ça calme !
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J'ai toujours ce respect incommensurable de la femme qui porte un enfant.Elle porte la vie, elle est la vie. C'est la femme qui m'avait porté, comment pourrais-je, ne pas l'aimer. Bisou la FEMME!
RépondreSupprimerJ'ai entendu une belle phrase l'autre jour à la tv, qui s'adressait à tous les hommes qui parlent mal des femmes, qui leur font du mal:
Supprimer"Quand vous faites du mal à une femme, demandez-vous ce que vous feriez ou diriez si c'était votre mère..."
Bisou, homme qui respecte la femme (même si elle ne porte pas d'enfants)
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C'est ce que l'on appelle une remarque à double tranchant :-( ...
SupprimerOui, c'est clair...Certains hommes se vengent d'un désamour maternel sur toutes les autres femmes.
SupprimerMais ça n'est pas réservé aux hommes... Les femmes aussi peuvent faire payer les hommes d'un mauvais comportement paternel.
Mais il est vrai que la personne qui a prononcé cette phrase et celle qui l'a reçue (c'est à dire moi) sommes des gens qui n'avons pas eu ce genre de problème.
Merci pour ta remarque éclairée.
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À ce qu'il paraît… - tout du moins si j'accorde quelques crédits à la rumeur publique - le bruit court que j'aurais moi-même séjourné dans un ventre il y a pas mal d'années déjà. Ayant eu l'occasion plus tard de voir de quel ventre il s'agissait, j'ai pensé que cela expliquait probablement qu'il vaut mieux que je n'en garde aucun souvenir…
RépondreSupprimermais, foin de ces balivernes antiques, j'aimais bien quand mon papa me portait dans ses bras avec mes jambes flageolantes, en ce temps-là où je ne pesais guère plus qu'un jeune biafrais de l'époque, c'était des instants de grande tendresse. Comme quoi, chaque père est peut-être une femme qui s'ignore…
cela dit, avec l'âge, je finirai bien boulet… comme tous les autres…
Courage aux aides-soignantes de ce temps à venir. Pour le peu qu'elles n'aient rien sous la blouse, je pourrais encore rêver au temps où je faisais pipi caca tout seul…
Bloggeur m'a bouffé la finale qui disait :
Supprimer" fin de la séquence émotion"
:-))
Chacun voit midi à quatorze heures, comme disent les les Anges de la télé réalité...
SupprimerJe ne résiste pas au plaisir de te renvoyer vers ce texte, que j'avais commis, pour détendre l'atmosphère et essuyer la larme furtive que tu m'as décrochée de l'oeil...
Kiss u
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Mes propos n'étaient que bal y verne comme on dit chez Don Quijote ! (ou pas d'ailleurs)
SupprimerEncore que l'histoire du séjour dans le ventre de ma môman mériterait que je le narrât un des ces 4 ! Ça vaut son pesant de Sigmund, d'après mon lacanien de psydésastre !
:-)
Baisers babaresques
Mon propos n'était que billevesée en retour, mon babar...
SupprimerGros bisou sur le nez
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deux périodes de bonheur intense lors de mes deux grossesses ! Mais qu'elles sont loin ces années-là ! La chance de ne pas avoir de nausées ni autres misères que certaines n'arrivent pas à éviter. Juste quelques kg en trop difficiles à perdre surtout pour le second. Je les lui ai reprochés samedi dernier (puisqu'il a vu que je me mettais "au vert") et sais-tu ? Il a rigolé ! Non mais ! Sacré Guillaume ! Bises
RépondreSupprimerC'est amusant, j'ai aussi un fils qui s'appelle Guillaume...
SupprimerEt il serait bien du genre à avoir aussi un humour caustique, ce sale gosse. ;-)
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C'est vrai qu'une grossesse est assez impressionnante lorsqu'on n'a pas encore été mère, mais une fois que cela nous arrive, tout se fait tellement naturellement qu'il n'y a rien d'impressionnant dans ce ventre qui grossit, dans ces petits coups de pieds que l'on ressent à l'intérieur de soi et que l'on sent sous la main, au hoquet du bébé que l'on arrive à percevoir. C'est une aventure merveilleuse, la plus belle sans doute, avec la naissance de ces doux petits, des moments inoubliables...
RépondreSupprimerBelle fin de journée, Célestine. Bisous.
Une magnifique aventure quand on a la chance de la vivre comme telle.
SupprimerJe t'embrasse chère Fançoise
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C'est peut-être pour ça que les femmes ne font pas la guerre (à part, peut-être Madame Tatcher...), parce qu'elles connaissent le prix et ce goût mystérieux qui nous dépasse de la vie?...
RépondreSupprimerMa fille était rayonnante, m'a-t-on dit, alors qu'elle attendait la sienne...
Les hommes ne connaissent pas cela...
C'est aussi ce que je pensais dans ce billet...Mais depuis j'ai légèrement infléchi ma position...Je crois que les femmes sont formatées par des siècles d'éducation non égalitaire...
SupprimerIl n'empêche que ce don de la vie dans les tripes est une chose que j'aurais aimé partager avec un homme...
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Mon bébé à moi faisait plus de quatre kilos à la naissance...je sais donc ce que veut dire "porter"...:-)
RépondreSupprimerAttendre un enfant est un moment magique, féerique, pendant lequel on ne fait rien...qu'attendre que la nature fasse les choses pour nous !
Il y a juste à faire confiance...et la Vie fait le reste.
Encore un point commun...
SupprimerMes garçons faisaient 4,200 kg et 4,150kg respectivement...Alors je comprends...et je compatis !
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Ah...tu fais mieux que moi ! (4kg125)...
Supprimermais les nombres, n'est-ce pas ? ;-)
J'adore ce genre de dialogue psychédélique...
SupprimerLa gent masculine va se gausser mais si on retient les poids au gramme près, c'est parce que chaque gramme compte !
Eh oui, les femmes comptent tout au gramme près, et les hommes font régulièrement une fixette sur un certain nombre de centimètres... ;-),
Supprimerc'est comme ça !!! :-)))
C'est pas faux !
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"La profondeur de soie" Joliiiiii!
RépondreSupprimerOups ! Un lapsus que je n'avais pas vu...
SupprimerMais poétique, c'est vrai...Et quelque part, c'est un peu ça, un utérus...
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