mardi 24 novembre 2015

J'étais un animal...

Dans une vie antérieure, si j’étais un animal, je pense avoir été chat, vraisemblablement.

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Oh, je sais ce que tu vas me dire : nous sommes tous des singes nus. D’ailleurs aujourd’hui j’ai retrouvé le livre en rangeant ma bibliothèque. Desmond Morris me souriait et me rappelait combien dans certaines situations, on retrouve toute l’animalité qui est en nous. Je me suis laissée aller à rêvasser sur certains échanges de fluides, certaines exultations qui auraient été animales si une forme de spiritualité ne les avait pas sublimées, des éblouissements, de doux murmures, une subtile communion des sens et de la peau. La réalité augmentée de notre animalité, ça s’appelle l’amour, non ?

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59 commentaires:

  1. Notre problème, c'est que nous sommes des animaux névrosés :o)

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    1. Notre problème, c'est que nous sommes des animaux névrosés parce que nous savons que nous allons mourir. Alors, tout ce qui peut nous le faire oublier un moment est le bienvenu... :-)
      ¸¸.•*¨*• ☆

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    2. J'ai eu un compatriote qui disait "Mourir, cela n'est rien ! Mourir, la belle affaire ! Mais vieillir, ah, vieillir !"
      Pour moi, le point d'achoppement n'est pas tellement de savoir que nous allons mourir, c'est de ne pas savoir comment.

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    3. Mourir comme Felix Faure, peut-être ? ;-)
      (pour rester dans le sujet du billet...)

      ¸¸.•*¨*• ☆

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    4. La cantharide est passée de mode...

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    5. Ta ta ta ! Et Greta alors ? ;-)
      ¸¸.•*¨*• ☆

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    6. Greta est comme toi : elle pourrait être ma fille (ou presque)

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    7. Ah là, tu es revenu au billet sur Reggiani... ;-)

      Bon allez, mon Boss adoré, j'arrête de te taquiner, de toute façons je me trouve lourdingue avec mon humour à deux balles... :-)

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    8. @ Walrus
      Savoir comment on va mourir enlève tout l'intérêt qu'il peut y avoir dans ce tombé de rideau.
      C'est comme voir un film ou lire un roman policier dont on connait la fin. Ca frelate la saveur de cet ultime met. Ca fait "réchauffé et trop cuit", et je ne voudrais pas qu'on me grille ma dernière improvisation.
      Là, je vote pour Vian:
      "Je voudrais pas crever sans avoir goûté la saveur de la mort."
      Ciao e baci à la patronne

      Les animaux ont conscience de leur mort prochaine, mais contrairement à nous, ils ont la sagesse de ne pas s'en préoccuper avant que ce soit l'heure.

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    9. Bon enfin,c'est bien joli tout ça, mais on s'est un tout petit peu éloigné de mon sujet du jour...Parce qu'avant la mort, y a l'amour...
      ;-)
      ¸¸.•*¨*• ☆

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  2. J'ai tendance à penser que c'est la partie de notre animalité qui est la plus humaine ! sinon comment expliquer que notre humanité soit aussi désespérante que même un animal n'en voudrait pas.
    C'est mon animalité qui parle ce soir, ne désespérons pas, demain je verrais plus clair dans ma niche.

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    1. Un petit coup de blues, mon Bizak ?
      J'en suis bien désolée. Je continue à croire en l'homme, c'est bête je sais...mais peut-être que c'est parce que mes deux chats sont morts... :-(
      ¸¸.•*¨*• ☆

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    2. Je viens d'écouter la harangue de Jean Marc Le Bihan chez Françoise et il m'a remué mes tripes tellement il parle vrai, même trop vrai.

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    3. Je comprends. Il a une saine colère.
      On ne parle jamais trop vrai. Mais on a malheureusement inventé le "politiquement correct"...
      Un jour viendra...couleur d'orange (parole d'un autre poète au parler vrai)
      ¸¸.•*¨*• ☆

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    4. En écoutant le Bihan, je viens de faire un grand écart de 50 ans.
      Quel choc de découvrir que Mouna** a un fils spirituel.
      Même discours, même harangue, même engagement et même humanité.
      Je n'ai pas envie d'en revenir de ce choc car c'est si bon de retrouver les lieux de son enfance et de voir qu'ils sont toujours là, intacts malgré un demi siècle de saccages en tous genre.
      Baci


      ** https://fr.wikipedia.org/wiki/Aguigui_Mouna
      http://www.dailymotion.com/video/xwil5v_ecoutez-mouna-1_news


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    5. Je ne connaissais pas Mouna.
      Extraordinaire.
      ¸¸.•*¨*• ☆

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    6. Et moi, je croyais cette race d'agitateurs des rues révolue. Découvrir le Bihan c'est aussi extraordinaire.

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    7. Quelle heureuse rencontre alors...C'est vrai que je l'ai vu une fois au festival off d'Avignon, il m'avait impressionnée par sa rage de vivre et son énergie.
      baci e buona notte
      ¸¸.•*¨*• ☆

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    8. Je suis un animal de Chicanos, si tu aimes le reggay(bonne écoute)

      https://www.youtube.com/watch?v=vS7HzsLzVYc

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    9. Oui, j'aime bien, et je ne connaissais pas du tout cette chanson, ni ce groupe.
      Merci pour la découverte, Bizak.
      ¸¸.•*¨*• ☆

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  3. j'aime beaucoup ta phrase de conclusion et ta façon de voir la réalité augmentée ;-)
    Livre "le singe nu" présent à ma bibli, bon je ne vais quasiment jamais fouiner au rayon documentaires mais je pourrais bien faire une exception.-)
    Bisessss

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    1. C'est plutôt au rayon philo ou psycho que tu le trouveras
      C'est une lecture interessante
      Bisous ma belle
      ¸¸.•*¨*• ☆

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  4. J'aime beaucoup la dernière phrase....
    Des fois tu as de ces fulgurances.... !

    J'enlèverais juste la toute fin pour ne garder que l'affirmation :

    "La réalité augmentée de notre animalité, ça s’appelle l’amour"

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    1. Tu m'apprends à m'affirmer, tu as raison.
      Promis, la prochaine fois, j'enlève le point d'interrogation... ;-)

      ¸¸.•*¨*• ☆

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  5. Je me trompe peut-être mais tu sembles suggérer que l'amour est une spécificité humaine, issue d'une certaine forme de spiritualité. C'est bien ça ?

    [revoir la couverture du Singe nu m'a replongé dans mon enfance, quand cette image était la seule dont je disposais pour visualiser la nudité de l'adulte. On s'extasiait, avec frère et soeurs, quand on allait ensemble sortir ce livre glissé en hauteur dans la bibliothèque parentale.]

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    1. Non je n'ai pas dit que l'amour était une spécificité humaine, il y a sûrement une forme d'amour chez les animaux...ne serait-ce que l'instinct maternel, et puis les défenseurs des animaux ne diront pas le contraire. Non j'ai juste voulu dire que l'acte sexuel purement animal reste un coït, une copulation. Un acte à visée reproductive.
      J'ai parlé de réalité augmentée, pour dire que l'amour fait entrer cet acte dans la troisième dimension. Il y a une scène magnifique dans la Guerre du Feu où la femme se retourne et regarde son partenaire. Elle symbolise cette entrée de l'humain dans cette troisième dimension. Animalité et mysticisme ne sont pas incompatibles et permettent de très belles choses combinées ensemble...Ce n'est pas très facile à expliquer...Mais tout ceci n'engage que moi. Je suis une Vénus de la vieille école, tu sais bien...

      Moi, c'étaient les planches d'anatomie du dictionnaire familial que nous contemplions avec grand intérêt...
      Bises mutines
      ¸¸.•*¨*• ☆

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    2. D'accord, tu parlais plutôt de l'amour dans sa part sexualisée (et spirituelle, donc…) et ta précision m'éclaire. T'en fais pas, j'ai pas besoin que tu m'explique d'avantage : je comprends bien ce que tu as voulu mettre en évidence. J'y adhère, évidemment ;)

      Tu sais que je suis un infatigable chercheur de sens autour de la polysémie du mot "amour" et j'aime bien savoir de quel amour on parle, parmi ses multiples variations.

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    3. En même temps, "échanges de fluides et subtile communion des sens et de la peau" ...il me semblait clair que je ne parlais pas d'autre chose...
      Surtout dans un billet qui avait pour thème l'animalité...
      Bises taquines
      ¸¸.•*¨*• ☆

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  6. @ Cel : D'abord, je croyais que tu étais un papillon ! d'autant que... http://www.animal-totem.fr
    Et c'est pas moi qui l'ai dit !
    Ensuite il m'amuse de lire sous ta plume que nous sommes tous des singes nus et que tonton Desmond te souriait. Il me semble me souvenir d'une époque où tu fus plutôt réticente aux écrits de ce monsieur à la lecture de qui j'ai, pour ma part, appris à me connaître avec beaucoup d'humilité et d'auto-dérision.
    Ensuite, pour moi les échanges de fluide et les exultations que tu évoques ne sont que des "rapports sexuels" dans toute l'objectivité de l'expression s'il ne sont précédés de longs et doux temps d'échange et de présence à l'autre. Je ne sais pas si c'est ça l'amour, mais je sais que sans cela, il ne s'agit que de satisfaction de tuyauteries.
    En revanche, je suis fasciné par ce mélange d'animalité et d'élévation quand les amants s'offrent l'un à l'autre avec la plus grande attention, permettant l'abandon, l'offrande de soi les plus ultimes. C'est ainsi que la rencontre de la Dame de mes pensées fut pour moi un éblouissement profondément bouleversant, mais bast, je m'égare...
    C'est ce à quoi je cherche à tendre avec mes massages quand ils ne se veulent pas neutres, et je dois dire que le tout petit tout petit peu que sais du massage tantrique, qui n'a pas nécessairement pour but la rencontre charnelle mais peut y mener si les partenaires s'y accordent, me semble mériter attention...
    Mais mon animalité c'est aussi, sous un petit crachin gris dans les rues de Mâcon, la soudaine certitude aiguë que la vie peut me quitter à tout instant, et que si c'est maintenant, je n'aurais d'autre choix que de me coucher doucement par terre pour la laisser s'évaporer...

    'fin moi... Jdirien...

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    1. Tu n'as pas bien lu ce que j'écris, je pense.
      Les échanges de fluide et les exultations que j'évoque ne sont que des rapports sexuels ?
      ...tu ne peux même pas imaginer comme ça n'avait rien à voir avec de la tuyauterie, justement, ce souvenir là...Tu parles de tantrisme, je parle de spiritualité, c'est un peu la même idée, non ?
      je dis donc exactement la même chose que toi. (je te dis ça parce que tu construit ton commentaire en opposotion)
      Ensuite, par contre à c'est vrai, je ne suis pas d'accord avec toi, je n'ai absolument pas dit que nous étions des singes nus. j'ai écrit: je sais ce que TU vas me dire.
      C'est une lecture que j'ai trouvée intéressante, mais je n'en fais pas mon livre de chevet.
      Enfin, concernant mon animal totem, le papillon, c'est dans cette vie-là que je me sens papillon. Ça ne veut pas dire que je l'étais dans une vie antérieure.
      Voilà voilà. Je dis ça...je dis tout.
      Bises joyeuses
      ¸¸.•*¨*• ☆

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    2. P'tit papillon : Houlâââ, la mise au point !
      Je suis bien d'accord, ma chère, sur le fait qu'au fond on dit la même chose.
      Mais j'ai les yeux qui brûlent, les neurones en vrac et je me rends compte que j'ai bien mal exprimé le fond de ma pensée...
      Hors donc, de ce pas, je m'en vais me coucher !...

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    3. Non, non, tu as très bien exprimé le fond de ta pensée.
      C'était même très joli quand tu dis :
      "En revanche, je suis fasciné par ce mélange d'animalité et d'élévation quand les amants s'offrent l'un à l'autre avec la plus grande attention, permettant l'abandon, l'offrande de soi les plus ultimes.

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    4. Il est fort Jdissa dans la littérature animalienne ! la pensée profonde rejaillit du fond des âges.

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    5. Oui, hein, tu as vu ça ? ...
      Il est très fort !
      ¸¸.•*¨*• ☆

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    6. Ce qui tend à démontrer que Cro Magnon était aussi poète... :-)
      Bon, jdissa comme ça, histoire d'alimenter le débat...

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    7. Lol !
      C'est plutôt Cro magnonne...
      ¸¸.•*¨*• ☆

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    8. La poésie est née quand l'homme a commencé à balbutier ces premiers mots et depuis l'homme se prend la tête en faisant de la prose aux poètes mais ne sait pas toujours qui de l’œuf ou de la poule a pu dé-pondre ou ré-pondre de l'autre ! Jdissa à Jdissa même si Jdissa dort!

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    9. Va savoir si Jdissa qui dort adore !

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    10. Que dire ?...
      Non Bizak, je ne suis pas fort. Je suis même fragile, très fragile.
      Si tu savais tout ce qui est coincé au fond de ma poitrine vide, toute cette animalité viscérale et spirituelle faite de chair et de sang, cette communion impossible avec le grand tout auquel j'appartiens pourtant, poussière d'étoile, boue et terre friable, toute cette pensée tout ces échanges coincés dans les brûlures de ma peau orpheline, toute cette insondable question qui me hante et me grignote...
      Peu-être trouverais-je refuge ou identité dans la pensée des indiens d'amérique, si respectueux de la terre-mère et des créatures qu'elle porte et nourrit...
      Je ne sais pas, je ne sais rien, et mes mots sont bien impuissants à dire tout ce qui tumulte en moi...

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    11. @ Cel : ne crains rien, la nuit la plus sombre est toujours suivie d'une aube claire...

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    12. En quelques mots, comme ta réponse faite à Cel, tu résumes tout le commentaire précédent : nos connaissances sont toujours précédées de notre ignorance. Tu ne sais pas, tu ne sais rien ..mais tu sais que tu ne sais rien, c'est déjà une connaissance, et c'est cela l'essentiel; ( on sait qu'on ne sait pas!)

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    13. Quelle sagesse ce matin Bizak !
      Et combien j'aimerais, Jdissa, te transmettre un peu de cette joie simple qui m'habite.
      Se concentrer sur les pensées positives, c'est déjà dire : "oui, je suis fort, et rien ne peut m'atteindre à part le fruit de mon imagination, qui me transforme moi-même en mon pire ennemi."
      Renverser le paradigme, c'est ce que je m'emploie à faire à plein temps. Me déclarer heureuse à chaque instant, en répétant en boucle les raisons que j'ai de l'être, plutôt que de ressasser les raisons que j'ai de ne pas l'être. Au final, c'est une litanie contre une autre, mais la première enlève les maux de ventre.
      Alain dit:
      "Il y a plus de volonté qu'on ne croit dans le bonheur"
      Bises solidaires
      ¸¸.•*¨*• ☆

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    14. La raison, tes/vos raisons te/vous donnent...raison, et ma raison le sait.
      Mais quand on s'est construit dans l'insignifiance et l'échec, c'est toutes les fondations qu'il faut consolider... le travail d'une vie...
      La question qui me hante: "Qu'est-ce que j'ai fait de mal ?"
      Alors, lentement, relever la tête, tomber sept fois, se relever huit...
      Ne pas savoir s'offrir à soi-même ce qu'offre aux autres, être prêt à entendre, enfin, ce qu'on leur propose sans savoir se l'offrir à soi-même: Il y a peu, la Dame de mes pensées m'a offert un diaporama sur ce thème. Sans doute étais-enfin prêt à l'entendre? Si émouvante, sa démarche de recherche pour me faire ce cadeau si simple m'a enfin décidé: en retour je lui devais de l'employer. J'ai écrit ma "prière" et je m'en imprègne désormais régulièrement. Saura-t-elle jamais toute ma reconnaissance ?

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    15. La question "Qu'est-ce que j'ai fait de mal résume à elle seule l'iniquité de la morale qu'on nous a enseignée: le péché originel, quelle vaste fumisterie. Comme si un bébé portait en lui déjà tout le mal du monde.
      Avec cette fadaise, on nous a bien culpabilisés, et profondément. Et pour les siècles des siècles. Amen.
      Mais moi, j'en ai marre de me croire toujours coupable.
      Au lieu de parler de "prière" (même avec des guillemets ça me donne des boutons) si tu parlais plutôt de résolutions ?
      Je dis ça, je dis rien. Mais renverser la vapeur est un travail à plein temps.
      Il demande beaucoup d'énergie, afin de faire table rase d'une construction bancale, dans "l'échec et l'insignifiance" et de repartir sur de bonnes bases. Il y a une certaine urgence à ressentir du bonheur aussi, je pense. Je dis ça, évidemment je dis rien...mais la dame de tes pensées doit sûrement y croire aussi, puisque, comme moi, elle essaie de faire partager sa positivité.
      ¸¸.•*¨*• ☆

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  7. @ Cel, bis : me permettrais-tu de proposer à nos amis ces images paisibles qui m'émeuvent beaucoup :
    "Le toucher d'un homme" : https://www.youtube.com/watch?v=Hdni2ZKAKJM
    "Le toucher d'une femme" : https://www.youtube.com/watch?v=5sNDQsQ7m3M

    :o))

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    1. fais, mon ami...
      C'est l'auberge espagnole ici, on peut apporter tout ce que l'on veut...
      ;-)

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  8. ...peut-être le mélange d'animalité et de transcendance que connaissent les femmes au travers du don de la vie que je ne connaîtrai pas ?...

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  9. D'où mon émotion à chaque lecture de "Trop vite"...
    Tu vois ?...

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    1. Oui, je vois très bien.
      Mais une grande partie de notre tristesse vient de ce que l'on s'accroche à des choses irréversibles, au lieu de laisser couler en nous la rivière des possibles...
      ¸¸.•*¨*• ☆

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    2. Oui, tu as raison Céleste, laissons couler en nous la rivière des possibles. A l'impossible nul n'est tenu !

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  10. Un animal est toujours tapi au fond de nous. Moi, par exemple, je le sais et je le sens. J'ai un côté sauvage et instinctif qui m'amène à réaliser certaines de mes pulsions. Même si je m'intéresse beaucoup à la spiritualité, je sais que j'ai des zones d'ombres primitives......

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    1. J'espère que tu n'es pas un serial killer ! ^ ^
      ¸¸.•*¨*• ☆

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  11. C'est rien et tout, à la fois! Une choses précieuse qui ne se palpe pas (enfin pas toujours ;) l'amour...
    Bises

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    1. Mais ça se palpe, l'amour. Par tous les pores de la peau, par tous les sens.
      C'est dans chaque feuille qui tremble, dans chaque chant d'oiseau, dans chaque ruisseau qui glougloute.
      C'est un chant universel.
      On écoute ça, et on comprend ce que c'est:
      http://open.spotify.com/track/7ckMK9esQfik6xMjnLbjAh

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