L’association
« Un enfant peut sauver un arbre » a été fondée après la tempête de 2009. Des
enfants vont régulièrement avec leurs maîtres d’école sur le terrain, replanter
des arbres dans les Landes. Ils en sont à six cents. Ils apprennent les mots biodiversité, effet de
serre, environnement. J’ai aimé les mots du membre de l’association
« Forestiers du Monde » :
« Il est primordial que les enfants soient
« acteurs », qu’ils comprennent qu’il y a toujours quelque chose à
faire, qu’il n’est jamais top tard pour relever le défi et les manches.»
J’ai
pensé à Giono et à son homme qui plantait des arbres. Un colibri, un passeur
d’espoir avant l’heure.
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C'est en éduquant les enfants (et les femmes) qu'on sauvera le monde.
RépondreSupprimerJe me souviens des prémisses du recyclage en Suisse (c'était il y a fort longtemps). Les conteneurs de verre, fer et alu peinaient à se remplir, c'est alors que l'idée est sortie d'en parler dans les écoles. C'étaient les enfants qui se sont mis à éduquer leurs parents en matière de recyclage. C'était drôle à voir...
Ti bacio
Ené duquant les enfants et les femmes ?
SupprimerEt les hommes, vont-ils arrêter de se faire la guerre pour mettre la main à la pâte de la sauvegarde de l'espèce ?
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Les hommes ne sont que les enfants de demain. Tout espoir n'est donc pas perdu…
SupprimerAllez, on y croit !
@ Céleste.
SupprimerEn Suisse, ce sont les enfants qui, dans une large mesure, ont éduqué leur parents pour ce qui est du recyclage.
Pourquoi mettre la priorité sur l'éducation des femmes (là, je parle du Monde) ?
Elles sont souvent les laissées pour compte de l'accès au savoir et à la culture, et pourtant ce sont elles qui éduquent les enfants, qui leurs transmettent ce qu'elles savent. Et puis ce sont les femmes qui façonnent les hommes de demain.
Les hommes sont souvent devenus trop rigides pour être des moteurs de l'évolution des mentalités. En tous cas, c'est, de façon majoritaire, plus lent chez eux, alors s'ils se font tirer par leurs mômes, ça ira plus vite....
Baci
Ce qui pouvait passer pour une remarque un peu (très légèrement) machiste, était en réalité un bel hommage aux femmes.
SupprimerPerdonne mi.
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Je suis comme "idéfix", je n'aime pas qu'on abatte un arbre... et j'adore qu'on en plante un... belle initiative, bravo à cette association.
RépondreSupprimerJ'avoue que ce reportage m'a réjouie.
SupprimerBises ma belle blonde
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Oui c'est dans l'actualité ! on ne pense à l'arbre et la vie que quand c'est d'actualité, alors que ce devrait être non un problème uniquement d'association pour les enfants chose qui est déjà bien noble, mais en faire un principe sacré. L'inscrire par exemple dans la constitution, en faire une culture, nos réflexes doivent être comme une nécessité vitale, pas seulement pour plaire ou faire mode.
RépondreSupprimerOui bien sur, tu as raison mais c'est déjà un début. Il faudrait pour cela confier le pouvoir a des gens responsables de leurs actes et conscients de leurs missions et pas à des politicards assoiffés d'ambition personnelle ...
SupprimerOn en est très loin ...
Bisous du matin
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Attends, là tu mets une crosse croix sur le calendrier, parce que je vais te dire que je ne suis pas d'accord avec toi.
SupprimerNon, il ne faut pas, il ne faut jamais "confier le pouvoir" à des gens, quels qu'ils soient.
Si bien intentionnée qu'ils puissent être, tous les humains ont la faculté d'abuser du pouvoir que l'on a la faiblesse de leur confier.
Donne du pouvoir à un humain, qui qu'il soit, et il en abusera, car le pouvoir corrompt (et le pouvoir absolu corrompt absolument)
Certes, il faut des gestionnaires pour coordonner la vie en société, mais ils doivent être censurables en permanence. Le peuple doit pouvoir dire non à chaque décision des politiciens.
Ce qui n'empêcherait pas de pénaliser la fonction politique en les rendant justiciables de leurs choix et de leurs actes.
Comment ça que c'est anar, que c'est révolutionnaire et que je suis destructeur de la société.... Mais non, mais non:
Je suis juste libertaire. Ca ressemble un peu à libéral, mais il faut introduire à la liberté les notions plurielle et collective.
Je ne suis que demi-révolutionnaire, car si c'est encore une fois pour faire un tour complet, c'est pas la peine de saccager aujourd'hui ce qui se reconstruira en pire demain.
Et puis, je n'ai pas l'intention de détruire la société, il faut juste changer ce qui ne va pas... D'accord qu'il n'y a rien qui va, mais là, c'est pas de ma faute....
pieno di baci il pugno rilevamento
@Blutch: Tu as tout à fait raison Blutch de ne pas du tout faire confiance à quiconque, surtout quand il s'agit de la gestion d'un bien public et surtout de toute l'humanité.. Mais Célestine aussi est d'accord mais avec une confiance quand même quand il s'agit de gens "conscients de leurs actes et de leurs missions". Ce qui je dois le dire est une erreur effectivement Blutch. Rien qu'avec la pression des lobbies n'importe qui quelque soit sa cuirasse et sa conscience céderait ( Ces lobbies auront même l'appui de ces politicards véreux,).Ce que tu proposes aussi est presque impossible à réaliser tant le système politique comme il fonctionne, perdurera. Alors il faut que la société civile, prennent le pas petit à petit mais surtout ne pas croire aux sirènes des anti-anti-nantis!!
SupprimerC'est vrai que ce que je préconise est presque une utopie... Presque seulement, car un tel système fonctionne depuis 7 siècles dans un pays pourtant mal barré pour être uni, puisque séparé à part presque égale entre Catholiques et Réformés, avec 4 langues officielles dont une hégémonique avec près de 80% de la population. Des riches, des pauvres, des paysans de l'industrie, des banquiers, etc.
SupprimerCe pays? La Suisse.
J'ai fait sur Blogborygmes 4 articles sur ce sujet que tous les politocards de la Terre voudraient pouvoir oublier...
Si tu veux les lire, sur Blogbo, tu prends la fenêtre "Chercher" et tu notes:
Blutch, s'il te plait, dessine-moi une démocratie.
Bien à toi
Je suis heureuse que le débat se soit installé entre vous, je n'étais pas très disponible aujourd'hui, mais j'ai lu avec intérêt vos participations.
SupprimerComme quoi j'ai bien fait de dire "confier le pouvoir".
Bises à tous deux
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Un bel exemple pour illustré mes propos, tu pars en laissant la porte ouverte et l'on s'installe à refaire le monde à ta place.... Finalement, je me demande si tu n'aurais pas du frapper avant de rentrer dans ton blog... :-D
Supprimerpieno di baci
il parti trop tôt le commentaire et il a oublié un infinitif sur le clavier.... IllustreR, bien évidemment.
SupprimerJe vous fait confiance, en fait...
Supprimer¸¸.•*¨*• ☆
Je vous fais (un partout, balle au centre)
Supprimer^^
Blutch, c'est toi qui distribue les buts ? moi je n'ai vu de but, nul part. Allez balle au centre pour refaire la partie.
SupprimerPurée, comment ai-je pu me tromper, j'ai pas vu que c'était Célestine qui avait mis balle au centre. Ce qui n'empêche la partie peut se rejouer!!
SupprimerOn comptait juste les fautes d'orthographe, Bizak...
SupprimerÇa nous arrive si peu souvent d'en faire...
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Non seulement c'est une belle initiative mais en plus les enfants adorent ça !
RépondreSupprimerQuand il y a tout pour plaire, il faut en profiter! C'est trop rare par les temps qui courent :)
Bises
S'il y en a une qui est convaincue qu'il faut sensibiliser les enfants le plus tôt possible, c'est bien moi!
SupprimerEt c'est vrai que s'occuper des arbres est un vrai plaisir.
Bisettes
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La plantation de l'arbre est évidemment symbolique : ce qui compte c'est le message qui l'accompagne. Comprendre les enjeux environnementaux, l'importance de la biodiversité… mais aussi le cycle de la vie à une autre échelle de temps. Les grands arbres, dont l'âge peut atteindre plusieurs siècles, ont quelque chose de fascinant en perdurant au delà de nos générations humaines.
RépondreSupprimerMéfions-nous cependant d'un certain angélisme : une forêt, c'est une lutte infinie, lente et silencieuse, entre différents arbres pour accéder à la lumière. Une lutte de domination. Peu de vainqueurs, beaucoup de morts en cours de route.
Tu as une vision de la forêt assez originale !...
SupprimerIl est vrai que dans la nature, la lutte pour la vie est sanguinaire, chez les plantes comme les animaux.
Mais le symbole est important: il y a longtemps que je dis que la planète, elle, s'en sortira toujours. C'est l'espèce humaine qui est menacée, pas la terre. Qu'il n'y ait plus aucune vie à sa surface ne l'empêchera pas de tourner jusqu'à la fin programmée de notre étoile.
Bisous célestes
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Ma vision de la forêt est celle de celui qui en observe le lent mouvement, année après année, depuis plusieurs décennies. Dans une vie antérieure je faisais naître des arbres et aujourd'hui je les vois grandir, devenir forêt… et s'entretuer (ouais bon, j'exagère un peu).
SupprimerTout à fait d'accord avec ce que tu dis de la planète, et même de la biodiversité qui, d'une façon ou d'une autre survivra à "ce que les hommes en ont fait". L'humanité elle a aussi de (beaux ?) jours devant elle. Par contre la société humaine telle que nous la connaissons c'est moins sûr…
Bises boisées
C'est même très très hypothétique...
SupprimerSeuls survivront ceux qui sauront s'adapter à autre chose, c'est la loi de la Vie.
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Prudence Petitpas :
RépondreSupprimerPour qu'une forêt soit belle, et les arbres vigoureux, il est nécessaire d'abattre certains arbres, afin que d'autres plus vigoureux puissent croître, et atteindre la lumière.
Sinon toute la forêt est rastèque maigre sèche !
Beau billet jolie bûcheronne !
C'est moi la bûcheronne ?
SupprimerBisous
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J'ai écrit : "beau billet jolie bûcheronne"
SupprimerQuestion : qui a écrit le billet ?
J'avais un doute...en même temps, la bûcheronne, elle plante les arbres ou elle les scie ? ;-)
Supprimer¸¸.•*¨*• ☆
Andiamo aurait du dire une jolie forestière, et en même temps, ça fait un peu entrecôte... alors j'irais jusqu'à avoir l'audace de proposer de remplacer jolie bucheronne par belle plante.
SupprimerTi bacio
MDR
Supprimer¸¸.•*¨*• ☆
Rhôôô, Célestine, voyons : le bûcheron c'est celui qui coupe les arbres ! Et pas avec une scie, mais avec une tronçonneuse. Ou une hache, à la rigueur, s'il préfère entendre le silence des bois et voir goutter la sueur à son front.
SupprimerCelui qui plante les arbres c'est le sylviculteur. Et celui qui les fait naître c'est le pépiniériste. Oila, tu sais tout, jolie brindille ;)
Au fait, si tu veux savoir à quoi correspond une bucheronne dans l'imaginaire du bûcheron masculin, jette un coup d'oeil ici : http://la-menuiserie.fr/2011/04/05/stihl…-larme-des-menuisiers…/
SupprimerJe faisais juste semblant d'être bête dans ma question...
SupprimerMais merci quand même pour la leçon de vocabulaire.
Rien que pour le "jolie brindille" ça valait le coup ;-)
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En revanche, je crois que je ne peux pas lutter avec l'imaginaire masculin... ;-)
Supprimer¸¸.•*¨*• ☆
Du coup c'est moi qui ai vraiment l'air bête à essayer de t'apprendre ce que tu sais déjà :/
SupprimerHeureusement que la brindille me sauve…
^ ^
Personne n'a l'air bête ici. La sincérité est une preuve d'intellignece pour moi.
SupprimerBisous célestes
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Ce visionnaire de Léo Ferré chantait déjà il y a longtemps : "Ton stihl, c'est ton cul, c'est ton cul, c'est ton cul..."
Supprimerhttps://www.youtube.com/watch?v=nTlpE0Ivl94
Merci SF,maintenant je commence à comprendre pourquoi je suis pareillement emmerdé avec ma tronçonneuse... Chui pas prêt de racheter une Sthil
SupprimerMon style, c'est mon coeur, c'est mon coeur, c'est mon coeur...
Supprimer^^
C'est d'ailleurs le dernier vers de la chanson !
SupprimerChuis en phase avec Ferré !
Supprimer¸¸.•*¨*• ☆
C'est une belle initiative et la nature en a bien besoin !
RépondreSupprimerJe crois que c'est surtout l'humanité qui en a bien besoin, comme je le dis à Pierre un peu plus haut...
SupprimerBises Daniel
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Décidément tu es passionnément amoureuse de Giono !!
RépondreSupprimerMais son planteur est une fiction... Le colibri était dans la tête de l'écrivain....
(il parait que bien des gens lui ont écrit pour demander où était cette forêt...)
Giono, l'homme qui plantait des arbres dans sa tête....
On aimerait tellement y croire à ce planteur....
Une fiction, certes… mais pas très éloignée de l'action d'un homme ayant réellement existé : Georges Fabre, forestier à l'origine du reboisement du Mont Aigoual, dans les Cévennes, rendu désertique au 19eme siècle par la surexploitation forestière puis le surpaturage des moutons. L'histoire est sensiblement différente mais sur le fond elle revient au même : l'acharnement d'un homme à restaurer une forêt protectrice. Fabre à fait planter 68 millions d'arbres sur 16.000 hectares et la forêt de l'Aigoual est classée au patrimoine mondial de l'Unesco.
SupprimerSon histoire ici : http://aleas.terre.tv/fr/739_fabre-et-flahault-les-reboiseurs-de-laigoual
Bien sûr c'est une fiction, il ne s'en est jamais caché. Mais c'est une belle parabole de l'action positive de l'homme sur son milieu et de l'harmonie qui s'ensuit.
SupprimerCependant je connais un endroit bien particulier en France dont Giono s'est inspiré pour écrire sa nouvelle.
A cet endroit,au début du XX° siècle il n'y avait plus d'arbres, les montagnes, on le voit sur les photos d'époque, étaient toutes pelées. De nos jours une vaste et belle forêt y pousse. Et une partie de cette forêt s'appelle d'ailleurs Giono.
J'aime cet auteur, mais "passionnément amoureuse" je n'irai pas jusque là.
Bises célestes
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On a répondu en même temps...
SupprimerDans la région dont je parle (qui était particulièrement aimée par Giono) il s'est passé la même chose: déforestation et surexploitation des moutons.
^^
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Pierre : J'en connais un autre de planteur... un certain blogueur "alter".....
Supprimer:o)
C'est pas faux…
SupprimerÀ une échelle plus modeste, toutefois :)
C'est du second degré ou bien ?
SupprimerEuh… pas que je sache.
SupprimerC'est quoi qui te fais dire ça ?
Je ne sais pas...je ne savais pas que tu plantais des arbres.
Supprimer¸¸.•*¨*• ☆
Si j'étais joueur je dirais qu'il y a plein de choses que tu ne sais pas de moi, hé hé…
SupprimerMais ça tu pouvais presque le savoir : un peu plus haut dans les commentaires je t'ai répondu d'où me venait ce que tu as appelé « une vision de la forêt assez originale ».
J'ai relu, mais je ne vois rien qui pouvait me faire vraiment deviner que tu es un planteur d'arbres...
SupprimerMais tant mieux, je trouve ça très bien, et tant mieux également qu'il y ait plein de choses que je ne sache pas de toi. Tu sais bien que j'aime le mystère...
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J'ai vu il y a un an le film "Le sel de la terre"qui retrace l’œuvre magnifique du grand photographe brésilien Sebastião Salgado. Ce dernier est retourné vivre au Brésil et employant une partie de sa fortune, avec sa femme crée la fondation Instituto Terra. Ils replantent 2,5 millions d’arbres sur les terres familiales ravagées par la sécheresse.
RépondreSupprimerhttp://www.telerama.fr/monde/chez-les-salgado-au-bresil-objectif-foret,117763.php
Sensibilisée par le film, je suis devenue admirative de ce personnage.
Bise Célestine.
2,5 millions d'arbres ! C'est lui, l'homme qui plantait des arbres. C'est une très belle histoire, et je comprends qu'il force l'admiration...
SupprimerBisous Mart
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