En cet
instant précis, la beauté des paroles de mon ami Bizak m’a illuminée comme une
aurore pleine d’indulgence et de vérité :
Photo Alain X |
Aujourd’hui les sentiments passaient sur moi
comme des ombres de nuages effrayées par le vent, quand soudain cette phrase a
ôté la détresse de mon cœur :
« Les coquelicots algériens ressemblent
à ceux français »
C’est beau comme un matin. C’est beau comme l’enfance
qui court pieds nus dans la campagne.
212/366
c'est beau ce que tu écris là, Céleste
RépondreSupprimerenvie d'ajouter que les coquelicots de Molenbeek ressemble à s'y méprendre à ceux de l'Algérie (coucou Bizak!) et à ceux de ton coin à toi
Même beauté tendre, même fragilité...ils chantent le soleil!
Coumarine, tu es mon plus beau coquelicot de Molenbeek...
SupprimerEt je sais combien ces deux mots te touchent chacun à sa manière.
♥︎
¸¸.•*¨*• ☆
Il est beau, ton billet, Célestine.
RépondreSupprimerMerci !
Il sort du coeur.
Supprimer¸¸.•*¨*• ☆
La beauté, en cet instant précis, ce sont ces belles fleurs : La Céleste, Coumarine, Françoise qui nous étreignez de vos mots les plus beaux. Moi je rougis comme une tomate écarlate et les coquelicots sont déjà pourpres de nature.
RépondreSupprimerEt bien sûr Eva aussi qui m'a devancé sans que j'y prête attention !
SupprimerAh ma tomate écarlate, ne rougis point d'être un homme droit et bon dans ce monde tordu et sinueux.
SupprimerNe rougis pas d'avoir écrit des mots si beaux, des mots de paix et de communion.
¸¸.•*¨*• ☆
Bizak est un poète, sa patrie c'est l'humanité. Son hymne st un chant d'amour à la vie. UImpossible donc qu'il puisse ne pas t'illuminer.
RépondreSupprimerTi bacio
Je me sens ce matin comme ces frêles rameaux bourgeonnants qui se tendent vers le soleil du printemps.
SupprimerFrêle en apparence mais inondée de lumière
¸¸.•*¨*• ☆
Ce beau billet et ces paroles sont très émouvants et ramènent notre pensée vers tous ces hommes, femmes, enfants en quête d'une terre d’accueil et ceux nombreux en quête d'identité.
RépondreSupprimerSouhaitons leur aussi de pouvoir cueillir des brassées de coquelicots. Bonne nuit Célestine
J'y pense très souvent. Dans ma maison, il y a une chambre qui attend.
SupprimerEt dans mon coeur l'espoir, sans lequel on vacille.
¸¸.•*¨*• ☆
Tous ces mots sont beaux, les tiens, ceux de Bizak, les commentaires.
RépondreSupprimerMerci pour cette lecture matinale pleine de beauté !
Belle journée dans la beauté de l'instant :-)
L'instant est éternel quand il convoque l'humanité dans ce qu'elle a de plus grand, aimable et beau.
SupprimerIl ne tiendrait qu'à chacun de s'accepter et de se tendre la main sur cette planète.
Les mots sont les armes du poète. Un jour, ils vaincront. Un jour d'épaule nue où les gens s'aimeront.
¸¸.•*¨*• ☆
@Blutch: Tu ne vois pas comme je suis enserré et que je dois maintenant veiller à ce qu'aucun nuage ne bouche les rayons du soleil. ;-)
RépondreSupprimerMerci Suzanne, merci à tous!
Les nuages viendront mais, si les hommes se reconnectent au réel cosmique, ils apportent la pluie à la terre asséchée, et non le malheur et les bombes.
Supprimer¸¸.•*¨*• ☆
En 1914 ceux qui allaient devenir "des poilus" étaient partis la fleur au fusil. Les garçons de ma génération partis en Algérie, auraient dû partir avec un coquelicot au bout du fusil ];-D
RépondreSupprimerMon père a été là-bas, et les horreurs qu'il a vues ont à jamais voilé son beau regard d'une gravité sombre.
SupprimerIl ne parvient même plus à tuer une mouche.
¸¸.•*¨*• ☆
Ton texte suscite l'émotion....la mienne en tout cas....
RépondreSupprimerParfois, le coquelicot se retrouve seul, tel le sang de la terre, telle la promesse des renouveaux espérés. Un seul suffit à sauver une humanité.
Personne n'y croit plus, pourtant on lui fera mémoire au solstice, mais c'est une mémoire morte, comme nos vieux ordinateurs gardant trace de ce qui ne nous intéresse plus....
Ton coquelicot est si beau, et tu me l'offres avec tant d'émotion, qu'il a toute sa place pour illustrer les mots magnifiques de notre cher poète.
SupprimerPersonne n'y croit plus, tu crois vraiment ça ? Même moi, la mécréante invertébrée, j'ai une tendresse pour lui, ses sandales et ses paraboles pleines d'amour. Peut-être depuis que je lis un certain voyageur...
N'était-il pas à sa façon, un poète, un troubadour, un illuminé au sens mystique du terme ?
Un jour viendra où le message arrivera aux oreilles assourdies par les déflagrations des armes.
Kiss you
¸¸.•*¨*• ☆
Wahou ! Que d'honneurs ! Ma photo en tête !
SupprimerLe gars dont je parle mettait surtout en cohérence ses paroles et ses actes. Il était ce qu'il disait.
Les savants des écritures qui pensent et repensent théologiquement entre eux disent que : "le verbe s'est fait chair". Formule alambiquée pour une chose simple, quoique novatrice.
La chose simple, c'est faire ce qu'on dit et dire ce qu'on fait.
SupprimerCe que nos politocards n'arriveront jamais à faire...
¸¸.•*¨*• ☆
Voici des paroles qui sentent bon la bienfaisance!
RépondreSupprimerBises
Si seulement cela devenait la règle en ce monde...
SupprimerCe serait si simple !
¸¸.•*¨*• ☆
Oui, Célestine, ton billet est très beau. Et les mots de Bizak sont si juste et si vrais.
RépondreSupprimerTiens, je suis émue ! Je vous embrasse très fort tous les deux !
Merci.
Merci Françoise.
SupprimerIl nous a bien émus sur ce coup là, notre poète...
Bisous célestes
¸¸.•*¨*• ☆
J'ai dit ce que je pensais, et vos mots étaient et sont encore plus forts, plus beaux. Je vous suis reconnaissant de porter haut l'amour. J'ai aimé Andiamo quand il a dit : "Les garçons de ma génération partis en Algérie, auraient dû partir avec un coquelicot au bout du fusil ];-D "
SupprimerJe sais que les peuples en général ne veulent pas de guerre, ce sont les politiques qui, pour des raisons politiciennes, des religieux pour leurs excès de zèle, hier c'étaient des inquisitions, aujourd'hui la négation de vie tout court. Je ne me reconnais en aucune politique où la liberté est bafouée, la ségrégation érigée en système, l'écart impossible entre riches et pauvres, la minorité est lynchée, la femme est toujours infériorisée. Je ne me reconnais pas dans les inégalités imposées tout court.
Je me reconnais en vous, en l'amour des uns et des autres. Je n'ai jamais considéré que je suis un poète, je dis seulement avec des mots, ma part, comme ce colibri qui fait sa part.
Si, tu es un poète...
Supprimer¸¸.•*¨*• ☆¸¸.•*¨*• ☆¸¸.•*¨*• ☆
;-)
SupprimerMerci pour ce billet Celestine et merci à tous les deux Celestine et Bizak pour votre poésie et votre intelligence. Toujours passionnant de lire vos échanges dans ce blog.
RépondreSupprimerC'est facile d'avoir des échanges de qualités avec des lecteurs comme lui, ou comme toi, qui écris également une poésie magnifique.
SupprimerMerci beaucoup cher ami.
¸¸.•*¨*• ☆
@Villaseurat et Célestine : Merci
Supprimer