Un
moment de vacance, plutôt…la vacance, dans le sens faire le vide…
Un
moment rien que pour moi, au hammam, pour tout oublier, déconnecter, me faire
masser, m’occuper de mon corps…
Ça c’était
bien. On était nues et sans complexes, sous des regards bienveillants et sans
jugement aucun. Ce que ça fait du bien !
La masseuse
avait les mains douces.
Le thé
au jasmin était à volonté. Les femmes riaient et se racontaient leurs petits
malheurs en se passant des onguents. J’aurais pu leur raconter mon souci du
jour mais j’ai préféré me taire. Leurs beaux yeux noirs auraient pleuré.
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Ah oui !!! Ca devait être un vrai moment de vacance...
RépondreSupprimerDélicieux, vraiment, Suzame.
Supprimer¸¸.•*¨*• ☆
C'était toujours dans le hammam que tout ce tramait et se dénouait: Les mariages, les commérages et les réconciliations dans les pays du Maghreb. Bouteflika à son arrivée au pouvoir avait toujours traité les journaux algériens pour leurs ragots de « tayabat El hammam » (commère des bains maures), ...
RépondreSupprimerMais un bon massage rien de tel pour se détendre les neurones!!
Bisou
Et détendre mes neurones, j'avoue que j'en avais bien besoin, hier !
Supprimerj'adore ton anecdote croustillante sur les dessous politiques de ton pays...
Bisous célestes
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Au fond, c'est un peu comme dans les douches des vestiaires au rugby....
RépondreSupprimer:)
Sauf le thé.... peu viril !!
Comment ça peu viril ?
SupprimerLa boisson la plus bue dans le monde, quand même, c'est quoi ces idées reçues?
Je suis quand même contente de te revoir mon Babar
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Quoi, tu fréquentes la duchesse de Marlborough ?
RépondreSupprimerAssidument.
Supprimer¸¸.•*¨*• ☆
Un doux moment pour prendre soin de sois.
RépondreSupprimerBisous
soi, bien sûr!
RépondreSupprimerQuoique, peut-être le pluriel n'est-il pas si incongru...N'a-t-on pas plusieurs "soi" ? ;-)
Supprimer¸¸.•*¨*• ☆
beau moment de vacance en effet
RépondreSupprimermais j'ai lu autre chose aussi: le souci du jour, sur lequel les yeux auraient pleuré. si tu en avais parlé..
Courage donc...
merci, Coum ♥︎
Supprimer¸¸.•*¨*• ☆
Comme Coumarine, ce sont les deux dernières phrases qui m'ont fait froncer les sourcils…
RépondreSupprimerJ'espère que tu auras pu le raconter à quelque oreille attentive, ce souci-là. À moins que le hammam et les mains de la masseuse aient été suffisamment doux pour les lui faire perdre sa rugosité.
Merci de ta sollicitude, Pierre.
SupprimerC'est vrai que je ne peux pas en parler ici.
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Ah mamma mia !
RépondreSupprimerTu sais que j'ai vendu des appareils de massage ? j'en ai vendu guère, mais je me suis bien marré !
Des appareils ?
SupprimerJe préfère tellement la douceur des mains...
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Entre elles, les musulmanes ne sont pas des femmes coincées. Elles le sont par la morale des mecs. Pourquoi?
RépondreSupprimerIl me revient en mémoire le film magnifique d'un réalisateur tunisien:
"Halfaouine, l'enfant des terrasses", avec les scènes dans le hammam.
Ti bacio
Ah! Blutchiano, tu as vu ce film ! C'est dans ces lieux chauffés que les demoiselles à marier se retrouvent et trouvent leur prétendants par les marraines intermédiaires. Aucun autre lieu ne peut mieux s'y prêter comme le hammam pour dénouer toutes les situations même les plus ubuesques. j'y étais encore enfant, vers 10ans avec ma bonne mère, eh ben! on peut dire que la vapeur me grisait le cerveau, je ne savais pas qu'on pouvait se risquer à voir autant de nudité...je me pâmais et on me faisait boire du thé pour recouvre mes esprits...ou-là là, qu'est ce qu'on m'a soûlé grave..
SupprimerBizak, tu me fais rire avec ton histoire des mille et une nuits !
SupprimerTa mère t'emmenait au hammam ? Quelle chance tu avais !
Blutchy, je n'ai pas vu le film, tu me raconteras ?
Bonne nuit e baci
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Oh je suis triste pour toi qui n'a pas pu raconter ton souci ....
RépondreSupprimerEn espérant que ce ne soit pas un souci insoluble .....
Faire un break, s'occuper de soi, se faire plaisir, c'est très important. La vie doit être aussi douceur........
RépondreSupprimerJ'espère que ça t'aura fait un bien à long terme
RépondreSupprimerJ'adorai aller au hammam quand je vivais à Paris, j'allais à celui de la Mosquée du 5è