Aujourd’hui,
j’ai revu Art, de Yasmina Reza.
« Si
tu es toi parce que tu es toi, et si je suis moi parce que je suis moi, alors je suis moi et tu es toi. Si, en
revanche, je suis moi parce que tu es
toi, et si tu es toi parce que je suis moi, alors je ne suis pas moi et tu n’es
pas toi. »
Une des
phrases entendues les plus amusantes de la pièce.
Si vous
avez une heure vingt-sept devant vous, cliquez et jouissez de ce pur moment intelligent,
extrêmement drôle et bien joué.
91/366
Coucou Célestine
RépondreSupprimerje me note de revenir cliquer ce soir ;-)
1h27 cela doit pouvoir se trouver ;-)
Je confirme, c'est du grand théâtre.
RépondreSupprimerFaut dire aussi qu'avec Fabrice Lucchini, Pierre Vanech et Pierre Arditi, il y a de quoi faire....2 Molières.
Baci in confusione, tu trieras à ton retour
Marrant !!
RépondreSupprimerje l'ai re-regardée il n'y a pas si longtemps !
Un vai régal !!
Bon d'accord, quand je l'ai vue, ce n'était pas avec les mêmes acteurs, mais cette pièce m'a laissé de marbre, et je me suis toujours demandé comment elle pouvait connaître autant de succès : j'ai trouvé qu'elle péchait par cela même qu'elle prétendait dénoncer : le snobisme intellectuel d'une certaine intelligentsia. Je crois bien que "Trois versions de la vie" est la seule œuvre de Yasmina Reza que j'ai appréciée. Quant à l'hystérie du "Dieu du carnage" (théâtre) et la vacuité de "Heureux les heureux" (roman), j'ai vraiment détesté... Enfin, les goûts et les couleurs..., chanson connue.
RépondreSupprimerJe repasserai regarder cette piece, bises
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