Mon arrière grand-père l’avait
construite en 1925, en s’inspirant beaucoup du style « arts-déco »
qui faisait fureur à l’époque. Lampes et appliques tulipes, moulures de plafond
en stuc, meubles vernis.
Et surtout un magnifique
carrelage à cabochons, très kitsch et peu fonctionnel.
Tout objet de petite taille
tombant dessus est aussitôt happé dans la quatrième dimension et on ne le
retrouve plus…
Quant à la dureté du
matériau, essayez donc d’y faire tomber un verre en arcopal prétendument
incassable. Il explosera en mille morceaux. Un peu comme mon cœur en ce moment,
au contact de certaines réalités.
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Pour le palpitant, il est heureux que ce soit plus facile de recoller les morceaux que pour le verre Arcopal :-)
RépondreSupprimerLa recette:
Se laisser porter par l'amour que l'on reçoit, s'en imprégner comme une éponge, et avoir pour la Vie une gratitude infinie.
Tu as déjà ces deux outils en main, laisse toi bercer. Il est bon parfois de se laisser porter.
Ti voglio bene Sorelitta e ti bacio forte
Les recettes ont l'air toujours faciles sur le papier...
Supprimermais je vais essayer !
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Brassens aurait pu chanter :
RépondreSupprimerAu bois d' mon cœur
Ya des p'tits copeaux, ya des p'tits copeaux...
Il y a d'la sciure
Au au bois d' mon cœur, au au bois d' mon cœur...
Au sujet de ton carrelage, j'ai un pote artiste-peintre qui a des carreaux du même genre dans son atelier et tous les gens de le complimenter à son sujet. Et il me disait, je me retiens de leur dire, à ces connards : "Mais c'est les murs qu'il faut regarder, bordel !" d:^)
Hey, Saoul-F ! pas mal la resucée de Brassens..
SupprimerAu sujet de mon carrelage, je peux plus le voir en peinture, alors m'est avis que moi, chez ton pote, je regarderais attentivement les murs...et surtout ce qui est accroché dessus.
Bises joyeuses de ton retour
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Rien n'est jamais acquis à l'homme Ni sa force
RépondreSupprimerNi sa faiblesse ni son coeur
Alors parfois il faut surnager, trouver une bouée, tes amis en sont une même mille bouées, qui te soutiennent...
Je ne t'oublie pas, comment le pourrais je ?
T'es trop chou !
Supprimermais tu pourrais m'oublier, si tu croisais Aloïs...
mouarf !
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Io sono rapha
RépondreSupprimer"Un peu comme mon cœur en ce moment, au contact de certaines réalités." dito per me. *
Ben mince alors, on m'aurait caché qq chose ?
* dito pour moi; dites au permé able, bien sûr
ah! l'amour, j'connais
Juste quelques problèmes familiaux assez récurrents en ce moment...
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Ma grand mère avait les mêmes (de carreaux)
RépondreSupprimerCourage pour tes soucis familiaux ....
Merci, Val.
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On ne peut s'affranchir ni de la gravité, ni de la réalité...Courage
RépondreSupprimerBises
Et encore moins de la gravité de la réalité, muahaha !
Supprimer¸¸.•*¨*• ☆