mardi 1 septembre 2015

Animal


C’est malin d’avoir parlé du lapin, hier. Du coup, ça redonde sur le thème du jour. Animal, animal…je ne vois pas. Y a bien ce type qui gueulait comme un âne à onze heures du soir, sans aucun souci des bonnes manières…Il avait dû se cogner l’orteil méchamment ! Mais ça ne fait pas un billet. Les comportements reptiliens des automobilistes, dont on pourrait gloser pendant des heures.

 Mais je sais bien que ce qui intéresse le lecteur, c’est mon animalité qui explose à la chaleur, quand les corps se frôlent et se hument, et que partout flotte dans l’air cette odeur subtile de phéromones qui enflamme l’imagination. Mais je n'ai que cent mots...


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35 commentaires:

  1. Hola, muy caliente !

    ...'fin moi... Jdirien...

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    1. Comment on dit "...'fin moi... Jdirien..." en espagnol ?
      ¸¸.•*¨*• ☆

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  2. Ton animalité ;-)
    Dis-donc nous sommes synchro toutes les deux !

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  3. wouaaaaaaaa...j'adore ton dernier paragraphe!
    Au début c'est une mise en bouche, comme si tu n'osais pas parler de l'essentiel, à savoir ton animalité!
    (oups gomme vite cette faute provoquée par cette animalité qui enflamme et efface ;-))

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    1. Merci pour la faute, j'avais pô vu ^^
      L'essentiel ? Je ne sais pas, en tous cas, une part de nous importante, qui joue des coudes avec l'intellect et l'affectif !
      J'aime ton enthousiasme retrouvé, ça me fait plaisir !
      Il y a bien longtemps que tu n'avais pas lancé un "wouaaaaaaaa" aussi spontané!
      Bises douces
      ¸¸.•*¨*• ☆

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  4. Phéromone... Phéromone... C'est bien la première fois qu'on me traîte de phéromone !

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    1. Mais c'est génial de vivre des premières fois...
      Plus on avance en âge, et plus elles se font rares, mathématiquement parlant...
      ¸¸.•*¨*• ☆

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  5. Y a que çà qui intéresse le lecteur .... surtout quand c'est bien écrit

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    1. J'ose croire que c'est ce que tu penses de moi... ^^
      ¸¸.•*¨*• ☆

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  6. Oui,mais en seulement cent mots et même moins, tu aurais su très bien fredonner à ton animalité pour secouer nos âmes sensibles et réveiller nos sens pétrifiés et langoureux, en glissant parmi les fleurs suaves et sauvages du jardin quand, en osmose leurs odeurs pénétrantes et envoûtantes mêlées aux phéromones dans une fragrance éclatée, se déchaînent et enveloppent le ciel d'un feu d'artifices.Voilà, c'est dit comme qui dirait d'un trait... à la proustienne !

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    1. A tes souhaits, cher Bizak.
      Au prochain sujet qui s'y prête, je laisse exploser.
      ¸¸.•*¨*• ☆

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    2. Il ne faudrait pas se phéromo.. pardon se formaliser trop, Célestine !

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    3. Moi me formaliser ? Ja mais, tu sais bien... ^^

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    4. D'accord! te phéromoniser alors! ah!ah!

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  7. C'était peut-être le dépit du vendeur de voiture de Grasse auquel je n'ai pas acheté sa voiture pourrie... J'aurais pu profiter de tes phéromones si le vent avait soufflé du bon côté...
    Ti bacio Ragazza

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    1. Quoi tu étais à Grasse et tu m'as pas filé un coup de bigo ?
      tssss...je te parle plus pendant au moins dix minutes !
      ¸¸.•*¨*• ☆

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    2. 22h18, tu as donc fini de bouder :-P
      J'y ai pensé, mais Chronos n'était pas d'accord.
      J'ai du attendre 17 heures pour partir d'Avignon et aller voir la poubelle encore de jour...
      Bon, il y en a qui ne manquent pas de culot pour vendre n'importe quoi.
      Retour impératif avant minuit because levé trop tôt ce matin...
      Mais ça va se rattraper :-)
      Ti bacio

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    3. Oui, c'est pas faux, tu m'as laissé de la marge de boudissure.
      Mais bon, quand même quoi. Préférer une bagnole (pourrie) à ta petite Célestine...
      Si encore ç'avait été une ferrari...
      ¸¸.•*¨*• ☆

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    4. Même si je savais qu'il ne s'agissait pas d'une Ferrari, je n'ai su qu'elle était pourrie qu'après l'avoir vue.
      Et puis soyons sérieux, serait-il concevable de ne pouvoir te concéder que quelques minutes....
      Tu as le bonjour de Blutchiamine
      Molto baci

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    5. Binditedonc, vous êtes bien urbains tous les deux ! ;oDDD

      ...'fin moi... Jdirien

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    6. @ Cel: et tu vois, même le grand Blutch il l'a dit (en oubliant le "?", témoignant ainsi de l'émotion que tu fais naître dans son p'tit coeur) :"...serait-il concevable de ne pouvoir te concéder que quelques minutes...."

      Quod eram demonstrandum, et ite missa est-sud-est !...

      ...'fin moi... Jdirien

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    7. Alors...si même le grand Blutch le dit...
      ¸¸.•*¨*• ☆

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    8. P'tain, vous allez me donner le vertige tous les deux...

      @ jeuditrois
      les points suspensifs laissent au lecteur le loisir de terminer ou non la phrase selon son bon plaisir ou selon ce qu'il suspecte des intentions de l'auteur (avec vos remarques, j'ai failli y mettre un H à ce dernier mot).
      Allez les braves, une grosse accolade e pieno di baci

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    9. Bouhou ! je comprends rien à rien, ce soir...
      :*-(

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    10. Ben, je pensais que tu plussoyais au commentaire de Candide sur la stature de Blutch... :-D
      Et tu rajoutes "Mais j'ai rien dit, moi..."

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    11. Ah oui, ça y est j'ai compris...
      Mais quand tu as dit "vous allez me donner le vertige" j'ai cru que tu étais fâché...
      (parce que faut dire que tu ne commences jamais tes phrases par "p'tain" d'habitude...tu es du midi, maintenant, toi ?)
      ¸¸.•*¨*• ☆

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    12. Le jour où je me fâcherai avec toi n'est pas encore dans la programmation astrale, mia Cara

      Présentement oui, je suis un peu du Midi, étant en villégiature active en Avignon, cong.
      Ti bacio e buena notte

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  8. Super drôle ton texte!

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