Je
n’aime pas le mot fin. Je le trouve cassant, comme un volet qui claque au nez
du rêveur, comme un panneau sans issue, comme son macabre synonyme, sur lequel
tout le monde d’ailleurs n’est pas d’accord, laissant une misérable fissure
entrouverte vers une possible vie ultérieure…
Je
n’aime pas le mot fin, mais je me dis que toute fin donne naissance à un début.
Ainsi, le jour où je clorai le grand livre de mon métier sera baigné de toutes
ces larmes que je retiens depuis si longtemps. Mais le lendemain rutilera des promesses d’un radieux nouveau départ vers un bel ailleurs.
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Dans les moments de petite baisse de forme, j'essaie de voir les choses sous l'angle des cycles(:D)...comme tu le fais (enfin je l'ai compris comme cela) dans ce beau billet!
RépondreSupprimerJe t'embrasse Célestine
Oui c'est ça, Emilie. La vie est une roue qui tourne, et après la pluie le beau temps.
SupprimerHauts les coeurs. tu es jeune et tu as la vie devant toi !
Gros bisous ma belle
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A chaque fin un commencement... un autre départ pour une autre aventure... où je te souhaite de trouver tant de plaisir !
RépondreSupprimerJe l'espère aussi, de tout coeur...
Supprimer¸¸.•*¨*• ☆
Moi j'aurais envie de dire que j'adore le mot fin parce qu'il est synonyme de début (d'autre chose). Mais je suis foncièrement d'accord avec toi, car je crois que c'est jouer avec les mots (mais on aime ça!!) pour parler de la même chose (on aime ça aussi !!!).
RépondreSupprimerJe pense à toi tous les jours, j'ai l'impression que c'est moi qui suis à ta place, j'imagine ressentir ce que tu dois éprouver (j'en suis sûrement très loin) et crois-moi, mon admiration est toujours aussi grande.
Merci.
SupprimerTu ne peux savoir combien cela m'émeut.
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Il y a des fins qui font peur et d'autres qui font rêver... Et il y a les ambiguës, celles qui font à la fois peur et rêver. Ce sont les pires.
RépondreSupprimerBaci
Eh bien, tu es encourageant ce soir !
SupprimerParce que je crois que la fin dont je parle fait donc partie des pires...
:-(
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Je sais bien que tu es dans une de ces peurs ambiguës. Que ce grand vide d'une part et ce tout plein d'idées d'autre part donne le vertige. C'est un peu comme passer d'un bon Bordeaux à un excellent Bourgogne :-)
RépondreSupprimerEntre la peur et le rêve, tu sauras faire le bon choix.
Ti bacio
J'aime ta métaphore vinicole. Je vais m'y raccrocher pour ne pas sombrer... lol !
Supprimer¸¸.•*¨*• ☆
Pas trop fort tout de même car tu risques fort d'être pompette. :-)
SupprimerBaci per te
Oui ça ferait désordre c'est vrai...une ex-dirlette pompette !
Supprimer¸¸.•*¨*• ☆
Hum… ça dépend de quelle fin on parle. Fin de dictature, fin d'apartheid, fin de la mondialisation capitaliste… il y a des fins qui font rêver !
RépondreSupprimerMais bien sûr il y a d'autres fins qui font pleurer :(
[sans oublier que si on pleure c'est qu'on a été heureux avant]
En fait tout dépend de quel côté du rêve on place la fin :)
Dis donc, tu réfléchis puissamment pour un dimanche soir !
SupprimerAlors je dirai que je vais m'efforcer de considérer que le rêve s'ouvre à moi.
Et que je suis donc du bon côté du rêve.
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