J’ai
chanté la Supplique de Georges Brassens. A un ami. Magique moment. « Que
vers le sol natal mon corps soit ramené, dans un sleeping du Paris-Méditerranée, terminus en gare de Sète… »
Je me
suis dit que le nom du train avait disparu, remplacé par le moins romantique Tégévé.
Quant au mot sleeping, il contenait à
lui seul toutes les promesses d’un voyage de nuit, de couchettes et de rêves fiévreux bercés par le « tata-tatoum, tata-tatoum » des roues sur les rails…
Une ambiance
Orient-Express, de mystérieuses dames en noir et de princes russes…Mais je suis
une incorrigible romanesque.
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J'ai commis autrefois une histoire se déroulant dans l'Orient Express, l'héroïne était grande, longiligne et... Brune une longue robe rouge audacieusement décolletée mettait en valeur sa chevelure de jais..
RépondreSupprimerTout ressemblance avec une (jolie) personne GNA GNA GNA...
Ti voglio bene piccola strega ];-D
Ce devait être une très belle histoire, Andiamounet...
SupprimerJe n'ai jamais pris l'Orient Express et j'espère le prendre un jour ;-)
bacioli
Ca risquerait de faire un peu fast-road en se remémorant l'Orient-Express d'Agatha Christie...
SupprimerTi bacio
Rhôô ! oui c'est sûr...mais si je suis en bonne compagnie ?
SupprimerJ'ai déjà du mal à dormir dans mon lit alors dans un train...Mais bon, celui que tu évoques a l'air plus sympa que certains souvenirs que j'en ai, des voyages de nuit en train!
RépondreSupprimerJe t'embrasse
C'est un voyage un peu fantasmé...on nage en plein romn, quoi.
Supprimermais ça sert à ça, l'écriture aussi, non ?
Moi aussi je t'embrasse.
A demain. ^^
Reste incorrigible, Célestine ;-)
RépondreSupprimerDonc pour toi Sleeping = Georges Brassens
Pour moi cela évoque le premier Tonino Benacquista que j'ai lu : http://fr.wikipedia.org/wiki/La_Maldonne_des_sleepings
et wiki me dit que le titre est inspirée de "la madone des sleepings" de Maurice Dekobra.....
Ah le surf du samedi matin où la maison est calme ....
Oui un vrai plaisir du samedi matin
Supprimermerci valentyne d'avoir lu tous mes petits billets !
Ton billet me fait penser que je n'ai jamais lu Maurice Dekobra. Un manque à combler ? Par contre, je ne savais pas que Tonino Benacquista en avait fait un détournement de titre.
RépondreSupprimerMoi non plus. Ça me donne envie de combler cette lacune...
SupprimerMoi, cette évocation des années folles, cela me fait penser à danser sur un volcan
RépondreSupprimerhttps://youtu.be/RLOQCqGKVt8
http://celestinetroussecotte.blogspot.fr/2014/10/elle-danse.html
Supprimerje suis d'accord...^^
Mais je préfère la conclusion de Georges :
RépondreSupprimer"J'en demande pardon par avance à Jésus,
Si l'ombre de ma croix s'y couche un peu dessus
Pour un petit bonheur posthume.
Pauvres rois, pharaons ! Pauvre Napoléon !
Pauvres grands disparus gisant au Panthéon !
Pauvres cendres de conséquence !
Vous envierez un peu l'éternel estivant,
Qui fait du pédalo sur la vague en rêvant,
Qui passe sa mort en vacances"
Et d'ici là vivons gaiement en portant la bonne humeur et l'entente autour de nous
Ce cher Georges...je suis encore d'accord...
Supprimer^^