L’actrice
arrive sur le plateau. Je la trouve naturelle, belle malgré les années, pétillante,
rigolote, et en même temps émouvante, fragile. Moi, en rousse.
Elle
parle de la pièce qu’elle est en train de jouer. Vingt-quatre heures de la vie
d’une femme, de Zweig. Un livre immense sur l’âme humaine, et le mystère de cet
inconnu qui vit tapi en nous, et qui se révèle un jour…
Et
soudain, ses yeux s’animent, lancent des étincelles, elle dit l’importance d'être passionnés dans notre monde désabusé, elle se transfigure, Clémentine, devant
un Ruquier médusé.
Et moi,
sur mon canapé, je biche.
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Voilà c'est ça être passionné, ne jamais renoncer, aimer encore et toujours ];-D
RépondreSupprimerAimer a perdre la raison...
SupprimerLa Poste fait recette, elle dégrafe ses boutons
RépondreSupprimerComme sur la Croisette on joue à Cupidon
Je te redonne du temps pour tous en contrats Cohesio
Mais je facture en bas à la Commune ce que moi je ne paye pas
Mais quand comprendra-ton là haut au Château
Qu'il n'ya qu'une seule Terre, qu'il n'y a qu'un gâteau ?
Déshabiller Pierre pour habiller Paul
Voilà tout ce qu'ils savent faire, oubliant en cela
Que l'humanité ne peut se résumer à une ligne comptable qu'il suffirait de rayer
Pour faire oublier les cris de populations qui se sentent délaissées....
La Poste fait recette, elle dégrafe ses boutons
RépondreSupprimerComme sur la Croisette on joue à Cupidon
Je te redonne du temps pour tous en contrats Cohesio
Mais je facture en bas à la Commune ce que moi je ne paye pas
Mais quand comprendra-ton là haut au Château
Qu'il n'ya qu'une seule Terre, qu'il n'y a qu'un gâteau ?
Déshabiller Pierre pour habiller Paul
Voilà tout ce qu'ils savent faire, oubliant en cela
Que l'humanité ne peut se résumer à une ligne comptable qu'il suffirait de rayer
Pour faire oublier les cris de populations qui se sentent délaissées....
La plupart des gens n'ont qu'une imagination émoussée. Ce qui ne les touche pas directement, en leur enfonçant comme un coin aigu en plein cerveau, n'arrive guère à les émouvoir ; mais si devant leurs yeux, à portée immédiate de leur sensibilité, se produit quelque chose, même de peu d'importance, aussitôt bouillonne en eux une passion démesurée. Alors ils compensent, dans une certaine mesure, leur indifférence coutumière par une véhémence déplacée et exagérée.
RépondreSupprimerTu parles pour qui en fait , là ?
SupprimerJe ne comprends pas très bien le sens de tes mots, par rapport à mon texte...( excuse moi, j'ai le cerveau embrumé par la nuit...)
Clémentine Celarié disait qu'il n'y avait plus de passion dans le travail, par exemple, que les gens allaient au boulot avec des mines tristes, notamment les enseignants...
Bises
J'ai juste oublié les guillemets. C'est un extrait de "Vingt-quatre heures de la vie d’une femme"....
SupprimerAh oui d'accord, je comprends mieux, il faudra que je me décide à lire ce livre.
SupprimerBisous
¸¸.•*¨*• ☆
Voici ma nouvelle adresse de blog (qui a changé d'adresse et de nom).
RépondreSupprimerBises, Clémentine !
http://ecriturbulente.com/
C'est miss Aspho qui va être contente !
SupprimerBises célestes
¸¸.•*¨*• ☆
C'est sur qu'elle crève l'écran CC!
RépondreSupprimerJe t'embrasse
J'ai toujours adoré cette actrice...
RépondreSupprimer¸¸.•*¨*• ☆
Clémentine, Célestine....des noms qui vont bien ensemble ....je biche aussi ;-)
RépondreSupprimerValentyne, ça marche aussi !
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