lundi 18 mai 2015

Elle a dit

L’actrice arrive sur le plateau. Je la trouve naturelle, belle malgré les années, pétillante, rigolote, et en même temps émouvante, fragile. Moi, en rousse.
Elle parle de la pièce qu’elle est en train de jouer. Vingt-quatre heures de la vie d’une femme, de Zweig. Un livre immense sur l’âme humaine, et le mystère de cet inconnu qui vit tapi en nous, et qui se révèle un jour…
Et soudain, ses yeux s’animent, lancent des étincelles, elle dit l’importance d'être passionnés dans notre monde désabusé, elle se transfigure, Clémentine, devant un Ruquier médusé.
Et moi, sur mon canapé, je biche.


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14 commentaires:

  1. Voilà c'est ça être passionné, ne jamais renoncer, aimer encore et toujours ];-D

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  2. La Poste fait recette, elle dégrafe ses boutons
    Comme sur la Croisette on joue à Cupidon
    Je te redonne du temps pour tous en contrats Cohesio
    Mais je facture en bas à la Commune ce que moi je ne paye pas

    Mais quand comprendra-ton là haut au Château
    Qu'il n'ya qu'une seule Terre, qu'il n'y a qu'un gâteau ?
    Déshabiller Pierre pour habiller Paul
    Voilà tout ce qu'ils savent faire, oubliant en cela
    Que l'humanité ne peut se résumer à une ligne comptable qu'il suffirait de rayer
    Pour faire oublier les cris de populations qui se sentent délaissées....

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  3. La Poste fait recette, elle dégrafe ses boutons
    Comme sur la Croisette on joue à Cupidon
    Je te redonne du temps pour tous en contrats Cohesio
    Mais je facture en bas à la Commune ce que moi je ne paye pas

    Mais quand comprendra-ton là haut au Château
    Qu'il n'ya qu'une seule Terre, qu'il n'y a qu'un gâteau ?
    Déshabiller Pierre pour habiller Paul
    Voilà tout ce qu'ils savent faire, oubliant en cela
    Que l'humanité ne peut se résumer à une ligne comptable qu'il suffirait de rayer
    Pour faire oublier les cris de populations qui se sentent délaissées....

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  4. La plupart des gens n'ont qu'une imagination émoussée. Ce qui ne les touche pas directement, en leur enfonçant comme un coin aigu en plein cerveau, n'arrive guère à les émouvoir ; mais si devant leurs yeux, à portée immédiate de leur sensibilité, se produit quelque chose, même de peu d'importance, aussitôt bouillonne en eux une passion démesurée. Alors ils compensent, dans une certaine mesure, leur indifférence coutumière par une véhémence déplacée et exagérée.

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    1. Tu parles pour qui en fait , là ?
      Je ne comprends pas très bien le sens de tes mots, par rapport à mon texte...( excuse moi, j'ai le cerveau embrumé par la nuit...)
      Clémentine Celarié disait qu'il n'y avait plus de passion dans le travail, par exemple, que les gens allaient au boulot avec des mines tristes, notamment les enseignants...
      Bises

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    2. J'ai juste oublié les guillemets. C'est un extrait de "Vingt-quatre heures de la vie d’une femme"....

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    3. Ah oui d'accord, je comprends mieux, il faudra que je me décide à lire ce livre.
      Bisous
      ¸¸.•*¨*• ☆

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  5. Voici ma nouvelle adresse de blog (qui a changé d'adresse et de nom).
    Bises, Clémentine !
    http://ecriturbulente.com/

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    1. C'est miss Aspho qui va être contente !
      Bises célestes
      ¸¸.•*¨*• ☆

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  6. C'est sur qu'elle crève l'écran CC!
    Je t'embrasse

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  7. J'ai toujours adoré cette actrice...
    ¸¸.•*¨*• ☆

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  8. Clémentine, Célestine....des noms qui vont bien ensemble ....je biche aussi ;-)

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