En étendant mon petit linge, aujourd'hui, je pensais que les
métaphores lingères ne manquent pas dans notre inconscient collectif.
Ainsi,
les âmes innocentes sont-elles sans tache, ou bien au contraire, noires comme
des torchons de suie. Mais comme rien n’est tout noir ni tout blanc, pour Philippe Claudel,
elles sont grises. Le cher homme a le sens de la nuance, ou de la
demi-mesure…
On lave ses
péchés. On salit une réputation, on roule son ennemi dans la boue ou on lui
fait manger la poussière, puis on s’en lave les mains.
On
blanchit l’argent sale.
On se
fait rincer.
Et bien
sûr, on lave son linge sale en famille.
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AH AH AH joli : Pour un ter texte je ne te passerai pas un savon.
RépondreSupprimerBien vu, Andiamounet! Et il y en a encore beaucoup des expressions, attends, je vais me mettre au parfum... :-)
Supprimer¸¸.•*¨*• ☆
à bien y réfléchir je te passerais volontiers le savon sur le dos !
SupprimerOui mais là c'est pour te faire mousser que tu dis ça !
SupprimerExact, je suis un savant de Marseille, et j'ai fait l'école des mousses ];-D
RépondreSupprimerOk, j'ai trouvé mon maître, t'es le plus fort !
SupprimerAh ben c'est du propre !
RépondreSupprimerPfff, moi je suis lessivé aujourd'hui mais je repasserai ici un de ces jours, et là ça va pas faire un pli.
MDR !!!
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Ah ! S'il suffisait qu'un Professeur Tournesol mette au point une machine, La Machine ,
RépondreSupprimerLa machine à laver les coeurs de toute laideur
La machine à remonter le temps des sentiments
La machine à peindre toujours en bleu le ciel des amoureux
La machine à aspirer la saleté de la pauvreté
Sûr qu'elle fût déjà inventée, toute en beauté
Mais il nous incombe chaque jour de croire d'abord en l'amour
Non pas celui qu'on s'fabrique en une prise dans l'ecstasy pochette surprise
Mais celui qui s'épèle don de soi aux autres dans un échange réflexif de soi à l'autre
S'il suffisait qu'on
Supprimers'aime...
Céline Dion dit
RépondreSupprimer"J'ai du sang dans mes songes, un pétale séché
Quand des larmes me rongent que d'autres ont versées
La vie n'est pas étanche, mon île est sous le vent
Les portes laissent entrer les cris même en fermant
S'il suffisait qu'on s'aime, s'il suffisait d'aimer
Si l'on pouvait changer les choses et tout recommencer
S'il suffisait qu'on s'aime, s'il suffisait d'aimer
Nous ferions de ce rêve un monde
S'il suffisait d'aimer "
Oui, parce qu'il ne suffit pas d'aimer tout seul ; rien ne peut changer si l'on ne partage ce rêve qu'avec soi-même .....
Ben oui, Petrus...Je préfère faire de ce monde un rêve, c'est moins hasardeux...
Supprimer:-))
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Nous pouvons tenter de faire de ce monde quelque chose de plus réjouissant, en nous y mettant à plusieurs, oui cela je le crois , Célestine.....
SupprimerOui...^^même si la prise de conscience reste individuelle, colibri après colibri...
SupprimerLes idées progressent, mais il leur faut du temps.
Je reste confiante.
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Purée, on est loin de mon petit billet sur la lessive ! Quoique... ;-)
Non , en effet , on y revient tout droit : à chacun de laver son linge en premier lieu, pour pouvoir ensuite se joindre à d'autres et maîtriser la joie, comme il dit dans son message .....
SupprimerC'est désormais notre histoire qui reste à écrire, dans la confiance .....
Et surtout dans les moments difficiles, ne pas oublier les potaches!
RépondreSupprimerBises
C'est avec eux qu'on se lave la tête de tous nos soucis ! et ça fait un bien fou de dire des bêtises...
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Suis pas sûr d'avoir tout suivi : les cinquante nuances de gris, c'est Claudel ?
RépondreSupprimerNon je parlais des "Âmes Grises" de Philippe Claudel.
Supprimer(A ne pas confondre avec Paul, ce que j'ai failli faire !)
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