Cher Monsieur Queneau,
« -Cent mots par jour, sept cents mots semaine et au final, trente six mille cinq cents mots. Que sans doute personne ne lira...
-Mais si, qu'est-ce que tu racontes ?
-Bon admettons. Mais qui va aimer ma prose singulière ? »
Voilà ce que j'écrivais il y a un an, à l'aube de me lancer dans ce défi...
Un an déjà. Rien vu passer ! Et vous l'avez aimée, ma prose singulière...
J'ai compris que l'écriture était ma respiration, mon eau, mon pain, mon amphétamine...
Comment ça, ça n'a rien à voir avec le sujet du jour ? Tu ne vois donc pas que ça me file le bourdon, cette fin ? Allez, salut, Raymond !
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Aujourd'hui, je n'ai qu'un mot: MERCI à TOUS !
Les fidèles comme les occasionnels, les bavards comme les concis. Tous ceux qui ont fait vivre ce journal extime au fil des quatre saisons de mon coeur fiévreux...
Oui, ce fut une aventure humaine, un véritable marathon, avec ses phases d'enthousiasme et de découragement, ses envies de tout lâcher (pas souvent quand même) et ce besoin addictif de m'y replonger sans cesse, chaque jour (ou plutôt chaque nuit)...
Alors je suis fière et heureuse d'y être arrivée, mais c'est bien sûr en grande partie grâce à vous mes chers lecteurs z-et trices, toujours fidèles à ce délicieux petit rendez-vous journalier.
Je continuerai à encourager Marie-Jo, Eva, Suzame, Coumarine ainsi que toutes celles et ceux qui voudraient se lancer dans l'aventure.
Quant à moi, je vous donne rendez-vous
si vous aimez me lire, ce sera toujours avec plaisir.